Me voilà revenu de 3 mois de voyages et de treks au Népal !

A chaud, voici toutes mes impressions et retour d’expérience, sur des sujets qu’on ne vous raconte pas forcément dans les guides…

Attentions aux âmes sensibles, cet article contient du second degré !

Sommaire de cet article :

  1. Prendre le bus au Népal
  2. Prendre un vol local
  3. Les népalais
  4. Les touristes au Népal
  5. Est-ce qu’on mange bien au Népal ?
  6. Boire de l ‘alcool au Népal
  7. Et mon transit intestinal ?
  8. Musiques du Népal

terre de treks

Prendre le bus au Népal

On ne peut pas aller au Népal sans prendre une fois au moins le bus local. Ça fait partie du folklore.

La première étape est de réussir à choper un billet. Quelque soit la gare routière, si tant est que ce soit la bonne, il y a toujours un guichet bondé de gens qui crient, un malheureux type la dedans qui ne parle pas un mot d’anglais, et au dessus, une immense pancarte avec tout plein de destinations sympas, mais toutes écrites en népalais. Bienvenue.

Le bus local se distingue facilement du bus à touristes. Très coloré, avec des drapeaux de partout, le bus local a toujours un petit nom super flippant du style « ROAD STAR », « EVIL ROCKET » ou « HELL DRIVER ». Le bus comporte généralement 20 à 30 places assisses, mais compte souvent 2 fois plus de gens dedans, plus quelques une sur les toits, des sacs de riz de 25kg, de patates, d’oignons, et parfois des chèvres.

bus local
Le bus Besi Sahar – Bhulbule, au départ des Annapurnas

Eh bien malgré son surpoids, et son moteur poussif, ce bus Tata peut emprunter toutes les pistes, inondées ou avec des cailloux gros comme des pastèques. Alors il fait des bonds, il saute, il crache tout ce qu’il peut à la moindre montée, mais il avance, et ça passe. Pas vite, mais ça passe. 60 km de piste ? 6 heures.

Le contrôle des billets est super strict, et un billet pour touriste est 4 fois plus cher qu’un billet pour local. Il arrive que l’on fasse descendre des locaux pour faire monter des touristes dans un bus plein car plus rentable.

[wolf_alert_message message= »Parenthèse sur les minibus de Katmandou. Solution économique pour rejoindre Bodnath ou Bhaktapur, prendre un minibus reste un truc de dingo. Pas de stop, pas de nom, pas de numéro. La porte ouverte, un type gueule un quartier. Si ça ressemble au votre, gueulez en retour, et si c’est bon, le minibus ralenti (!) et vous fait monter. » type= »error »]

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Prendre un vol local

vol local
La piste de Lukla. Ca ne se voit pas bien, mais je vous jure qu’elle est super pentue

Il est parfaitement légitime de se poser la question si prendre un petit avion pour rejoindre Pokhara ou Jomsom, plutôt qu’un bus, est une bonne idée.

Si on est riche et pressé (pas trop mon cas), ce peut être une option intéressante. Mais pour rejoindre Lukla et le Khumbu (région de l’Everest), c’est l’avion ou 8 jours de marche. J’ai choisi l’avion.

Prendre l’avion pour Lukla est une incroyable expérience. Un truc à faire, comme le bus local, pour s’imprégner du folklore. Petite parenthèse, la piste de Lukla est réputée comme étant l’une des plus dangereuse du monde. Pourquoi ? Ben parce qu’elle est tellement courte qu’elle est inclinée de 12° pour que les avions, les plus petits modèles, aient les moyens de freiner avant de se crasher dans la montagne. Rassurant.

L’aéroport de Katmandou. On se croirait à la gare routière. Il y a bien des guichets, avec le nom de la compagnie dessus, mais les types qui sont là ne parlent pas anglais, et de toute façon ne vous parlent pas du tout. On se demandent comment les bagages arrivent dans le bon avion. Le fait est qu’ils y arrivent. Il y a un malheureux restaurant, et une machine qui sert un affreux café. Mais le plus important est de prendre un avion. Je vous explique :

Les vols pour Lukla ont cela de particulier, étant donné que la piste est très dangereuse, qu’ils ne volent que si le temps est clément. C’est à dire que si vous avez un avion programmé pour tel jour à telle heure, il y a une très forte chance pour que ce vol soit retardé ou annulé.

Comment ça se passe dans les faits ? Simple. Vous arrivez à l’aéroport. Le mieux c’est d’y être très tôt, genre 6h30, parce que le temps est plus clément le matin. Vous vous pointez devant le guichet de votre compagnie.

Vous attendez un peu, vous gueulez, vous obtenez votre boarding pass (le graal !), avec un numéro dessus. Le numéro correspond au combientième vol de la journée de cette compagnie. Si le temps est effectivement beau, alors 25 avions peuvent décoller dans la journée. Si c’est bof, peut-être 5 avions. Si c’est moche, aucun avion.

Donc vous ne savez jamais quand vous décollerez, ni même si vous arriverez à destination ce jour là. Si tous les vols, ou que juste votre vol est annulé, il faut revenir le lendemain. Mais là attention, car il y a des gens qui ont pris un billet pour ce nouveau jour, et vous n’êtes plus en priorité ! Alors là ça devient beaucoup plus compliqué pour trouver une place. Voilà.

J’ai passé 2 jours à l’aller pour avoir enfin un avion pour Lukla, et 2 jours au retour…

vol local (2)
Mais il est où mon avioooon !?

[wolf_alert_message message= »A noter que tous les vols ont un prix fixe, fixé par le gouvernement. En 2014, un vol Katmandou – Lukla AR coûte 330$. Katmandou – Pokhara 250$. Jomsom – Pokhara 232$. » type= »info »]

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Les népalais

Le népalais a des origines chinoises et indiennes. Ce qui n’est guère surprenant si l’on connaît un peu l’histoire du Népal, faite d’invasions et de guerres entre ces deux peuples depuis 2000 ans.

Comme ses comparses des contrées voisines, le népalais est plutôt petit, sans être râblé. Mais vraiment petit, hein. Dépassant rarement 1m55, les sièges des bus sont donc adaptés. Les grands, attention aux genoux…

Le népalais n’a aucune conscience environnementale, mais alors rien de chez rien. Partout il y a des panneaux pour nous inciter à éviter d’acheter des bouteilles en plastiques, de faire attention à nos déchets, etc. Lui, il s’en balance, il jette ses canettes, paquets de clopes ou sachet de chips absolument pas recyclables n’importe où, n’importe comment. A noter que le Népal est un pays absolument dénué de poubelle, à l’exception des lodges.

Le petit enfant népalais vit dans un environnement hostile, et il apprend très vite les mots qui seront nécessaire à sa survie : « Namaste », « Sweets », « Chocolate », « Money » (réservé toutefois aux plus grands). Ainsi, chaque petit enfant croisé sur le chemin exprime avec force et vigueur : « Namaste. SWEEEEETS ! » (« Bonjour, bonboooon ! »)

Les locaux n’aiment pas être pris en photo, et c’est normal car ce ne sont pas des bêtes de foire. Ils l’expriment généralement par un grognement, un crachat (universel) ou une injection à votre encontre. Les dames népalaises aiment encore moins être prises en photo. En revanche, il arrive que des petits enfants vous réclament d’être pris en photo, juste pour le plaisir.

népalais

Les jeunes filles népalaises sont très souvent promises à un membre d’une autre famille, qu’elle soit de religion bouddhiste ou hindouiste. Inutile donc de jouer de la cornemuse pour tenter d’amadouer une jolie poulette, ça n’aura aucun effet.

Enfin le népalais ne dit jamais « je ne sais pas ». C’est une question de culture. Il préfère dire une bétise à la place. Même si ça n’a aucun sens. Exemple « Hot Water 24h, really ? » « Yes sir ». Bien sûr que non ! Ton machin il marche à l’énergie solaire, tu me prends pour un jambon ? Il est par exemple très difficile d’avoir le nom exact des sommets que l’on observe, car chaque guide va vous un nom de sommet différent.

[wolf_alert_message message= »De ce fait, le népalais n’est absolument pas fiable, pour quoi que ce soit, et il vaut mieux ne compter que sur soi-même, plutôt que de se reposer sur des informations totalement erronées, parfois même dangereuses… Vous êtes prévenus. » type= »error »]

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Les touristes au Népal

On rencontre des gens de tous les horizons au Népal. De tout âge et de tout horizon. Des marcheurs évidemment, mais aussi des parrains / marraines d’associations locales, des pèlerins venus faire une retraite méditative dans un lieu sacré, des occidentaux apprentis moines, de jeunes mariés, des globe-trotteurs, ou de simples touristes en goguette.

Le Népal est une étape de choix dans les tours d’Asie. Bien souvent, les voyageurs commencent au Népal en octobre, car c’est encore la mousson dans le reste de l’Asie, puis descendent progressivement vers la Thaïlande. De fait, il m’est arrivé de croiser plusieurs personnes, seules ou en couple, qui partaient pour 3, 6, 8, 10 mois et de partager leur point de vue, leurs idées, leurs expériences.

Certains n’en sont pas à leur première visite, d’autres sont mêmes restés. Dans la montagne, j’ai vu des dames d’occident qui ne me parlaient en népalais, hippies des années 60 installées ici depuis.

A Ghursang par exemple, juste au-dessus de Manang sur le chemin du col de Thorung La dans les Annapurnas, une auberge est tenue par une française, qui vous sert un jus d’argousier chaud en vous vantant ses vertus.

A l’inverse, bon nombre de touristes découvrent un pays en voie de développement pour la première fois. Beaucoup d’entre eux n’ont bien souvent jamais marché de leur vie. Leur seul et unique objectif est d’atteindre le camp de base de l’Everest, quel qu’en soit le prix. Quitte a payer un retour en hélicoptère à 7000$. Pas le même délire…

touristes
Mes amis compagnons de route / touristes israéliens, Tal et Eran.

Ou trouve t-on le plus de touristes au Népal ? A Thamel, au cœur de Katmandou, assurément. La proportion atteint au moins 80% de touristes. Dans le parcours principal pour le camp de Base de l’Everest, la proportion est sans doute équivalente.

C’est dense. Surtout que là, tout le monde prend le même chemin, et s’arrête à peu de chose près aux mêmes étapes. Dès que vous sortez des lieux les plus touristiques, vous serez tout seul. Et là, vous aurez de vraies rencontres authentiques avec des népalais, souriants, aimables, non biaisées par une approche mercantile. Et ce sera vraiment génial.

Alors qui sont ces touristes ?

[wolf_alert_message message= »Il paraît (statistiques népalaises) que sur les Annapurnas, les 3 nationalités les plus représentées sont les français, les israéliens et les allemands. Bon, je n’ai pas croisé tellement de français que ça, mais des allemands et des israéliens, pas mal, en effet. » type= »info »]

  • Allemands, surtout des randonneurs. Ils sont là pour les treks
  • Chinois / Taïwanais / Hong Kong, très nombreux sur le trek du camp base de l’Everest, en gros groupes de débutants
  • Israéliens, un peu partout et en voyageur solo
  • Britanniques, souvent avec guide et porteur, de tout âge
  • Australiens en mode backpacker
  • Américains en mode backpacker aussi
  • Français de tous âges, en groupe UCPA ou trekkeur solitaire. Au final, je n’en ai pas vu tant que ça dans la montagne
  • Polonais, tchèques, en petits groupes et sans porteurs
  • Japonais et coréens souvent très bien équipés niveau photo, et des trekkeurs vraiment aguerris
  • Espagnols souvent à l’arrache, en solution la moins cher possible (habitant)
  • Népalais de la vallée. C’est cool de voir des touristes népalais qui marchent.
  • Et tout plein d’autres nationalités…

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Est-ce qu’on mange bien au Népal ?

C’est une question légitime (et spécifiquement française) que de s’interroger sur la qualité de ce qu’on mange. Au Népal, les villes sont extrêmement polluées, à tel point qu’il n’y a plus de poissons dans les rivières, l’électricité est coupée au moins une fois par jour, et l’acheminement des denrées dans les montagnes se fait à dos d’homme. De quoi être inquiet !

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Un plat newari, que vous ne trouverez qu’à Bhaktapur

 Eh bien figurez-vous qu’on mange partout super bien. Et pour ceux qui s’inquiètent, ce n’est pas épicé du tout. Dans chaque petit village, chaque petite auberge, une dizaine de plats sont proposés, chacun déclinés en 4 ou 5 préparations, du traditionnel dal bhat (plat de riz avec une soupe de lentilles, des pommes de terres au curry, des légumes et des pickles), à des plats parfaitement exotiques : shakshuka (plat israëlien à base de tomates et d’oeufs), burritos, chiken butter massala, yak burgers,… Certains villages plus importants, tel Manang, Jomsom ou Namche Bazaar possèdent même leur lots de patisseries (allemandes).

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Veggie burger

Les plats que vous mangerez le plus couramment sont :

  • Des pâtes : macaronis, spaghettis, noodles, chowmein (comme de gros noodle), thupka (soupe de noodle un peu épicée),
  • Du riz : riz frit, dal bhat
  • Des momos (équivalent des gyoza japonais), spécialité tibétaine descendue au népal
  • Des patates : au curry, avec des petites légumes

Plus rare, mais aussi plus authentique, essayez la pâte de sarrasin (dhido en népalais, buckwheat paste en anglais). Ca n’a pas tellement de goût, mais ça ne fait pas de mal. Elle est souvent accompagné d’un curry de légumes.

Les momos sont des petits raviolis farcis à ce que vous voulez, légumes, patate, fromage, un mélange des 3, champignons, ou à Bodnath, aux fromage de chèvre & épinards. Ils se commandent soit cuits à la vapeur, soit frits. Personnellement je les préfère vapeur. A consommer sans modération.

manger_momos
Momos !

Le Dal bhat est un plat tellement traditionnel que les porteurs en consomment 2 à 3 fois par jour. En gros, ils ne mangent que ça. Astuce de goinfre : le dal baht est le seul plat ou l’on vous proposera de vous resservir, de tout ce que vous avez dans l’assiette. 2 repas pour le prix d’un…

Népal : manger_dal bhat

La pomme est cultivée dans les vallées des Annapurnas, et alimentent tous les villages. Pratiquement chaque lodge propose des apple pie et apple crumble absolument délicieux (demandez qu’on vous les réchauffe…)

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Apple crumble de Markha, la patrie de la pomme au Népal

Pratiquement chaque auberge située pas trop en altitude (max 4000m) possède sont petit potager. De ce fait, les légumes accompagnant les plats (principalement carottes, patates, choux, épinards et sorte de blettes), cultivés sur place, sont frais, bio et par essence parfaitement sain.

[wolf_alert_message message= »Attention cependant à ne pas consommer de viande, dont l’origine n’est pas traçable. Même le poulet. Je vous recommande donc un menu exclusivement végétarien pour ces quelques jours de treks, ce qui ne fait pas de mal, et qui limite ainsi le risque au minimum. » type= »error »]

Enfin, sachez juste que si les types de restaurant sont beaucoup plus variés à Katmandou (de l’italien au mexicain en passant par des steak house américaines, thai ou kyrgyz) qu’en montagne, c’est bien à Katmandou qu’on mange le plus mal.

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Thupka

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Boire de l’alcool au Népal

Il existe 2 brasseries industrielles au Népal, produisant 2 bières que vous trouverez normalement partout, l’Everest et la Gorkha. Deux lager parfaitement honnêtes, servies dans des bouteilles de 65cl, qui titrent à environ 5°. Pas de quoi se faire trop mal donc. Si ce n’est au porte monnaie, car si le petit plaisir de la bonne bière fraîche après une bonne marche trouve toujours l’excuse de diminuer la production d’acide lactique, à 5€, ça frôle l’arnaque à touristes. Consommer de l’alcool en altitude contribue à accentuer encore davantage le mal des montagnes. A éviter donc.

everest_beer
Everest, sans déconner… Quelle originalité !

En bière d’importation il n’y a QUE de la Tuborg, de la Carlsberg et de la San Miguel. Au même prix que la bière locale.

[wolf_alert_message message= »La vallée du Mustang produit un Apple Brandy parfaitement immonde, à éviter. » type= »info »]

Le Népal produit également des vins, dont le plus populaire est le Hinwa. On en trouve dans les restaurants de vallées. C’est assez doux et sucré, mais ce n’est pas à proprement parlé du vin. Il est composé de framboises, de baies de berberis et de safran. Il existe également du vrai vin, au sens où on l’entend, mais il est assez rare de le trouver.

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Et mon transit intestinal

« Tu verras, au Népal, c’est sûr que tu vas te choper la chiasse ».

C’est sur cette note positive que j’ai pris quelques Imodium / Lopéramide dans le fond de mon sac. Je vais vous dire, j’ai l’instestin fragile. Ma principale hantise, dans ce type de voyage, c’est justement de me choper une diarrhée à me rouler par terre. Eh ben croyez moi si vous voulez, mais je n’ai pas eu une seule diarrhée en 3 mois, quel que soit le restaurant, du plus chic au plus miteux, dans lesquels j’ai pris un repas.

transit
De beaux légumes ! Oui je n’allais pas vous mettre une photo de toilettes…

Et pourtant, le Népal n’est pas réputé pour sa stricte application des règles d’hygiènes, même élémentaires. L’eau n’est pas rarement potable et  les coupures d’électricité quotidiennes garantissent une chaîne en froid en pointillée (hum la bonne glace à la colique…). Quand à la fraîcheur de la viande, heu… bon restons-en là.

Alors attention hein, j’ai fais gaffe. Menu végétarien uniquement, limite végétalien, eau purifiée (avec 2 pastilles / litre au lieu d’un seul, altitude oblige), osmosée ou en bouteille, même pour me laver les dents, pas de fritures (si ce n’est des patates), pas de truc épicé. Et ça a tenu.

Alors si même moi, en prenant quelques précautions mineures, j’arrive à garder un transit impeccable sur 80 jours, vous ne devriez avoir aucun soucis de ce côté là.

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Musique du Népal

Si le pays est inondée de musique indienne, la musique népalaise en est restée au stade du folklore. Du folklore « romance ». Censure et tradition oblige, c’est de la romance bien soft hein, pas question de voir une épaule dénudée ou genou, on est pas dans un pays de dépravés ici.

Chez tous les disquaires vous entendrez en boucle toute la journée (à en devenir marteau si vous dormez à côté), une version chantée du mantra « om mani padme hum », orientée méditation.

Enfin, il vous entendrez fréquemment des chants de célébration religieux hindouistes, accompagnés d’une petite percussion.

Mais il y a certainement des tas de musiques locales que je n’ai pas eu connaissance, et qui restent à découvrir !

musique
Célébration de la pleine lune à Bhaktapur. Seuls les hommes chantent…

Je vous ai mis des petits lien sur des chansons actuelles ultrapopulaires. A écouter sans modération 🙂

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  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post last modified:5 octobre 2020

Cet article a 3 commentaires

  1. La Rando

    Superbe article, c’est exactement ça le Népal, nous y allons chaque année avec notre asso.

    1. Raphael K.

      Merci beaucoup !
      C’est vraiment un pays unique au monde. Aucun pays ne dégage une aura aussi puissante. J’espère pouvoir y retourner cette année ou l’année prochaine, cette fois-ci à deux.
      Je ne connaissais pas votre magazine, il est très complet et superbement illustré.

  2. poidevin

    Les momos originaux sont tibétains, l’eau minérale est bonne, certains israéliens partent sans payer des lodges!
    Si il y a du vin népalais, mais que dans des restaurants typiques et haut de gamme! je connais le népal depuis 25 ans et y ai passé près de 3 ans cumulés et ma femme y à vécu 39 ans!

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